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Ils croyaient tout connaître de la violence et de la mort. Pour des flics comme eux , c'est le pain quotidien. Mais aujourd'hui, ils vont rencontrer pire encore. Une mise en scène macabre signée : Les Rivières pourpres. Secte satanique ou gang de tueurs fous ?

Maigret avait l'impression de patauger .Puis, dans la voiture qui contournait la Place de la République, une pensée lui vint, qui le rasséréna quelque peu . Si cette enquête n'était pas comme les autres, s'il ne savait pas par où la prendre : N' était ce pas parce qu'il s'agissait d'un crime qui pouvait se commettre d'un moment à l'autre ?

Il suffira d'un cadavre . Et le rêve tournera au cauchemar. Il suffira d'un cadavre. Et Point Pleasant, paisible bourgade, se transformera en un échiquier féroce et sanglant . Adrienne et Skye, sa fille, commençaient à croire qu'elles en avaient fini avec les difficultés de la vie. Mais la découverte du corps dénudé, inanimé, brutalisé de leur meilleure amie est venue tout bouleverser. Que faisait Julianna dans cette chambre d'hôtel à la sinistre réputation ? Y retrouvait-elle clandestinement un amant ? Et le gardien retrouvé mort carbonisé dans l'incendie de sa maison en savait-il trop ? Les uns après le autres, les proches de Julianna se voient tous menacés. L'étau se reserre autour d'Adrienne et Skye .Toujours plus dangereusement. Mais il est vrai que seuls les cadavres sont parfaitement muets .Et que pour eux, seuls, les secrets sont éternels.

Le célèbre détective belge possède de petites cellules grises en assez bon état pour résoudre, avec son incomparable brio ces douzes énigmes particulières.

A Maputo, capitale du Mozambique, aucun client n'ose s'aventurer à l'hôtel dos Camaroes, malgré son jardin luxuriant. C'est que le patron est un vieux Blanc au caractère impossile. Aussi quand on le retrouve mort un matin, flottant dans sa piscine, nul ne s'en émeut. Sauf Aurel Timescu, roumain d'origine, Consul adjoint à l'ambassade de France. Calamiteux diplomate, c'est un redoutable enquêteur quand il pressent une injustice.

Hercule Poirot aimerait bien passer des vacances tranquilles. Une petite île, un hôtel agréable, une cuisine soignée, des pensionnaires charmants... Tout irait pour le mieux si, au milieu des estivants, ne tournait Arlena Marshall, une de ces femmes qui font faire des bêtises aux hommes. Etait-ce une raison pour l' étrangler ?

Lorsque Ethan Muller, propriétaire d'une galerie, met la main sur une série de dessins d'une qualité exceptionnelle, il sait qu'il va enfin pouvoir se faire un nom dans l'univers impitoyable des marchands d'art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de 40 ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c'est le travail d'un génie. La mécanique se dérègle le jour où unflic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d'enfants victimes, des années plus tôt, d'un mystérieux tueur en série....

Carl et Roy ont seize et dix-sept ans lorsque la voiture de leurs parents tombe au fond d'un ravin. Roy s'installe comme mécanicien dans une station-service du bourg voisin pour subvenir à leurs besoins. Carl, aussitôt sa scolarité finie, file au Canada poursuivre ses études et tenter sa chance. Des années plus tard, Carl revient au pays avec une trop ravissante épouse, mû par un ambitieux projet pour le modeste domaine familial : construire un hôtel spa de luxe qui fera leur fortune et celle de leur communauté, sur laquelle il compte pour financer les travaux. Mais le retour de l'enfant prodigue réveille de vieilles rancoeurs et les secrets de famille remontent à la surface. Tandis que les murs du palace peinent à s'ériger, les cadavres s'amoncellent. Leur domaine est un thriller complexe, déroutant, à l'atmosphère irrespirable, dans lequel Jo Nesbo expose avec un réalisme glaçant les rouages des rapports familiaux pervertis.

Le bâteau avait dû atteindre la Quarantaine vers quatre heures du matin et la plupart des passagers dormaient. Quelques-uns s'étaient vaguement réveillés en netaendant le vacarme de l'ancre, mais bien peu d'entre eux, avaient eu le courage de monter sur le pont pour contempler les lumières de New-York .

Pour la première fois au cours de sa carrière, un homme venait trouver Maigret, après avoir hésité des semaines durant, pour lui déclarer en substance : "Mon intention est de tuer deux personnes : ma femme et son amant . J'ai tout préparé dans ce but, envisagé les moindres détails pour ne pas me faire prendre ..."

René Jossein avait été assassiné . Dans quelques heures, la vie intime de la famille serait exposée avec tous ses détails, vrais ou faux, et chacun aurait le droit d'émettre des hypothèses. Pourquoi cela choquait-il Maigret tout à coup ?

Il était une heure et demie du matin, et Marcel n'était toujours pas rentré . Le petit cochon sans queue mettait des reflets roses sur la table où était ouverte la boîte à couture, et le poil de chameau gisant toujours sur le tapis ...

Maigret s'était rarement trouvé aussi dérouté devant des êtres humains. Est-ce qu'un psychiatre, un instituteur ou un romancier aurait été mieux à même de comprendre ces personnages surgit d'un autre siècle ? Une chose sûr et certaine : le Comte Armand de Saint-Hilaire, avait été assassiné chez lui, par quelqu'un dont il ne se méfiait pas ...